L'exposition prend source dans la lumière, élément de prédilection pour révéler l’essence d’un
espace. Le vitrail est le composant transcendant de cette architecture et celui qui révèle le mieux son histoire, celle du sacré et de sa transformation : le glissement d’un lieu de culte vers un lieu d’exposition. Il est donc apparu évident d’utiliser les vitraux et la conséquence physique des rayons filtrés par les ouvertures de cette architecture comme premier rôle de la fiction créée.
Ces vitraux renfermeront un motif inspiré de l’incandescence du feu composant la source de lumière naturelle, le soleil.
Au delà de ce travail sur les vitraux en tant que tel, la lumière servira de fil conducteur vecteur d’étrangeté. Elle sera l’horloge du scénario : les ombres, les reflets, les projections feront partie intégrante de l’installation.
Dear spectator, you are in a space
Marion Flament
du au